Appel aux artistes Supraréalistes

Appel aux artistes Supraréalistes 
créateurs de l’art digital


Cet Appel est consacré aux artistes Supraréalistes créateurs de l’art digital. 


L’art est intimement lié à la science et à la Technologie de son époque.

Ces artistes existent déjà, mais ils ne sont pas encore associés à un style, une ligne identifiante afin de se retrouver et pouvoir accéder à la reconnaissance publique. 

Le Fonds de Dotation pour la Fondation du Supraréalisme dans l’avenir regroupe tous les artistes visionnaires Supraréalistes qui font partie de ce nouveau mouvement de pensée (indispensable aujourd’hui au moment de la crise mondiale, socio-économique et écologique). 



Qu’est-ce qu’il distingue le Supraréalisme ? 

Premièrement et avant tout c’est le processus de la création. C’est une vraie création et non pas une interprétation d’objets existants.

L’oeuvre est réalisée par l’imagination, à partir d’un sans profond, où les états d’âme sont misent en vedette.

Par conséquent la création est imaginaire et non pas fantasmagorique. Elle est l’alliance du conscient et de l’inconscient.

Elle exprime le réel tel qu’il est perçu les yeux ouverts accompagné intimement par la réalité essentielle ressentie les yeux fermés.

Ce sont des incorporations graphiques de nos sentiments, nos pensées, c’est l’image de notre psychisme, conscient et inconscient.   


Une oeuvre digitale peut être réalisée à partir d’un travail photographique à partir duquel elle prendra forme grâce aux logiciels graphiques en appliquant l’imagination, pour lui donner du sens. Par conséquent, elle doit avoir du sens exprimé dans une composition imaginaire.

Certains artistes se servent du travail numérique pour réaliser des préparations pour leurs peintures (huile, aquarelle, acrylique). 

A condition que tout le support a été recouvert par la peinture couvrante, cette oeuvre pourra être considérée comme peinture.

Si ce n’est pas le cas, elle est numérique et sera attribuée au Supraréalisme si elle est une création et non pas une photo directe.

Le Supraréalisme utilise les photos uniquement comme support.

Je vous remercie très chaleureusement de votre éventuel commentaire qui me ferra grand plaisir.

Mad-Jarova


Originaire d’Europe de l’Est, elle s’inspire de thèmes spirituels, de la mythologie, et de la nature, créant des compositions qui semblent sortir d’un monde entre rêve et réalité. Ses œuvres sont souvent marquées par une précision dans les détails et une palette de couleurs très riche, ce qui renforce l’impact visuel de ses peintures. Mad Jarova explore les relations entre l’humain, le cosmos et la spiritualité, invitant le spectateur à une réflexion profonde.

Chat GPT


Les idées exprimées par des symboles ne sont pas des fantasmagories. Elles ont un sens. C’est la différence entre mon travail et celui des surréalistes.

il est important que je consacre le temps qu'il me reste à vivre à l'essentiel. En écrivant ces lignes, je ressens davantage l'urgence de donner le meilleur de moi-même, de faire le meilleur usage possible de mon temps, de mes talents, de mon amour au service de l'élévation des consciences et de l'ouverture des coeurs.


le Silence intérieur où l’on découvre une autre dimension du temps et de l’espace


Le silence qui s’installera en quelqu’un aura le pouvoir de le projeter dans un autre temps, dans un autre espace, où le savoir inscrit en lui de toute éternité se révélera peu à peu à sa conscience.


La majorité de nos pensées défile dans notre champ de conscience sans que nous les ayons cherchées. Nous les laissons se produire spontanément, sans vouloir les contrôler. 

Mais les pensées automatiques, peuvent provoquer des souffrances.


La peinture peut devenir source d’émotions positives. En prenant le temps d’entrer en communication avec elle, notre esprit entre dans le tableau et le tableau entre en nous. 

Car notre bien-être dépend en grande partie de notre capacité à être attentif : c’est lorsque nous sommes réellement présents à ce que nous faisons que nous sommes le plus heureux. Or la sur-stimulation de notre activité détraque notre attention et entraîne notre cerveau dans un tourbillon incessant. Il est incapable de fixer son attention. Cela représente un problème pour les jeunes. L’important est d’aller à l’essentiel, aujourd’hui, c’est le moment.

Le supraréalisme semble remplir ce rôle de propulseur. Puisque l’art trouve sa place dans le contexte de l’époque, il est le fruit potentiel de l’évolution de la science et de la philosophie. Pour la première fois, l’art met en évidence ce qui est inobservable. 


Une seule réponse existe : La présence du Mur de la lumière qui est l’expression de l’énergie essentielle. 

C’est celui qui se trouve à la même distance autour de la terre, ce mur opaque que les télescopes n’arrivent pas à percer. C’est aussi simple que ça… C’est un fait qui est essentiel dans mon modèle d’unification universelle. C’est la base de ma théorie de la relativité essentielle qui attend d’être vérifiée par les scientifiques.

Par conséquent, la réalité et l’invisible représentent une dualité complémentaire et universelle. Mes personnages n’ont pas de pesanteur, leur temps est dilaté, les mouvements sont étirés, fluides. Je les vois en moi, je ne fais pas d’esquisses pour garder la spontanéité.


La conscience est faite d’une stabilité qui lui donne un sens, le sens de notre univers d’un modèle extrêmement particulier. L’univers a été réglé de façon très précise pour que la vie et la conscience puissent y apparaître. Notre monde évolue dans le temps sous le signe d’une dualité primordiale : le Bien et le Mal, l’Homme et la Femme.

Une révolution est vraie, si elle s’oppose à l’ordre établi. Elle n’est jamais une déviation ou une évolution.

Vous avez parlé de la révolution dans l’art au début du siècle passé, de Picasso et de Matisse. C’est vrai, ils ont fait la révolution, mais celle qui a eu lieu, il y a 100 ans. Aujourd’hui ce n’est pas la même. Peut-on dire qu’il n’y a que la Révolution française ? Le temps passe, la société change… 

En apparence, chaque être semble isolé, séparé des autres, mais en réalité, une part de lui-même est liée à la collectivité et vit dans toutes les créatures, dans tout le cosmos. Si cette conscience collective  est éveillée en vous, vous sentez dans vos relations avec les autres que L’homme a le besoin intime de comprendre l’incompréhensible, d’entrer en lui-même, à se percevoir comme un des acteurs de ce grand projet aux mille mystères qui nous dépasse : la vie.

Nous menons actuellement une vie très vaine, et nous nous efforçons d’en combler le vide par les divertissements, mais si l’on y réfléchit, on découvre à quel point notre existence est creuse, entourée de conflits, et d’agressivité ? 


Depuis 40 ans, je fais des recherches scientifiques et philosophiques concernant la connaissance du lien entre science et conscience.


En fait, je ne sais pas si le beau n'est pas confondu avec ce qui est joli. Le joli n'est pas forcement beau, alors que le beau peut être joli, mais pas toujours. La beauté ne peut pas être démodée, puisqu'elle n'est pas une mode. Il n'y a que les modes qui se démodent. La beauté est le sens même de l'art, depuis toujours, elle est son essence, elle ne peut pas disparaître. Si elle n'est plus, l'art n'est plus. 

Effectivement, le chemin qui aboutit à mon œuvre passe par l’abstraction du non formé, où sont déposées les vibrations des émotions, puis aboutit à l’apparition de la vie à travers la réalité. C’est d’ailleurs elle qui interpelle au premier contact, mais en faisant un voyage dans l’œuvre, le passage dilate le temps, comme dans une pièce musicale. Mes œuvres ne sont pas des images de la réalité au premier degré comme une nature morte ou le portrait d’une personne qui pose. Ma réalité est détachée du monde extérieur, elle est intériorisée et symbolique.

Mad-Jarova



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